Depuis la loi Malraux dans les années 60 les temps modernes ont été rythmés par des lois immobilières successives en relation directe avec la fiscalité des particuliers.
Il ne faut pas être un grand observateur pour constater qu’à chaque changement de gouvernement les noms des lois ont changé pour prendre le nom d’un ministre ou d’une personnalité politique.
Ainsi nous avons vu passer, la loi MEHAIGNERIE, la loi QUILLES, la loi PERISSOL puis BESSON, DE ROBIEN, SCELLIER et enfin DUFLOT.
La question qui se pose aujourd’hui est de savoir quand la loi DUFLOT va se commuer en loi PINEL.
Si l’on en juge par le résultat, dans l’activité immobilière, du règne « DUFLOT » avec l’effondrement du secteur et les complications en tout genre de la loi ALUR, notre nouvelle ministre aura surement à cœur de revoir la copie de la précédente et ainsi de mettre son nom au tableau.
Le problème c’est qu’il existe déjà une loi PINEL, lui restera-t-il malgré tout suffisamment de motivation pour trouver matière à faire une nouvelle loi et relancer la construction de logements, nous sommes tellement loin des 500 000 par an annoncés.
À propos quelles sont les compétences de madame PINEL en matière de logements ?