Pour répondre aux objectifs du protocole de Kyoto, la consommation énergétique moyenne du parc français de logements doit être ramenée de 250 kWh/m2/an à 50 kWh à l’horizon 2050.
« Au rythme de la construction de logements neufs (300 000 à 400 000 par an) et du taux de démolition (0,1% à 0,2% par an), les constructions antérieures à 1975 représenteront encore 40% du parc de logements en 2050 », relève Philippe Pelletier président de l’Anah, dans son rapport établi en prévision du Grenelle de l’environnement.
Soyons patients.